Orpaillage : des femmes regrettent d’être considérées comme des « vagabondes »

Orpaillage : des femmes regrettent d’être considérées comme des « vagabondes »

Suite à des tensions au sein de sa famille, Adam Keita a abandonné son village Figuila pour s’installer sur un site d’orpaillage à Balandougou dans le cercle de Kangaba. Pour elle, l’orpaillage est plus bénéfique que le commerce. Par contre, elle déplore que des orpailleuses soient considérées comme des « vagabondes » par certains individus. Cette production est réalisée dans le cadre du projet « Droit des femmes » de Studio Tamani en partenariat avec IMRAP, financé par l’Union Européenne.

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