Esclavage au Sahel : le phénomène comprend plusieurs formes dans la pratique
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Esclavage au Sahel : le phénomène comprend plusieurs formes dans la pratique

« L’esclavage moderne est une réalité au Sahel ». C’est du moins ce que pense la Directrice générale de l’Agence Nationale de Lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite des migrants au Niger. Le Mali et le Niger sont donc deux pays frappés par ce phénomène, explique la magistrate. Selon elle, les différentes formes d’esclavage les plus courantes sont entre autres le travail forcé, la traite, l’asservissement par la dette ou encore la prostitution. Pour Mme Gogé, « les autorités des États du Sahel doivent prendre des dispositions pour mettre fin au phénomène de l’esclavage ».

Madame Gogé Maimouna Gazibo est Directrice générale de l’Agence Nationale de Lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite des migrants au Niger. Elle répond aux questions de Mahamane Baba Kounta et de Michel Dédji de Studio Kalangou.

Cette interview s’inscrit dans le cadre d’une série de productions sur l’esclavage dans le Sahel réalisées par les Studio Tamani et Kalangou au Niger.

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