Réunis le 29 juillet au CAP de Bafoulabé, les acteurs de l’éducation ont exprimé leur vive inquiétude face au faible taux de réussite au DEF 2025 cette année. Sur les 2 218 candidats, seulement 32,65 % ont été admis. Sur 26 centres, seuls 7 ont dépassé les 50 %. Les autorités scolaires imputent ces résultats à plusieurs facteurs : le manque d’enseignants, l’absentéisme, le non-respect du programme, le désintérêt des élèves et la démission parentale. Les solutions proposées sont entre autres le renforcement des bases dès le premier cycle et la révision des critères de passage entre cycles.
