La transmission pacifique du pouvoir, une gageure en Afrique ?
Sékou Gadjigo et ses invités (A gauche, Soumaïla Lah, enseignant-chercheur et analyste politique. A droite, Dr. Souleymane Kéita, enseignant-chercheur et analyste politique)

La transmission pacifique du pouvoir, une gageure en Afrique ?

Coup d’État, rébellion, insurrection populaire, les changements de régime en Afrique se font rarement de façon pacifique. Plus de 60 ans après les indépendances, les Africains ont toujours cette propension à s’y maintenir une fois au pouvoir. Si on a un moment pensé, que cette attitude était propre au dirigeant issu de l’armée, le contraire a été prouvé après l’avènement de la démocratie. Modification de la constitution, tripatouillage des élections, les leaders politiques une fois au pouvoir usent des stratagèmes pour y rester. Certains tentent, parfois, une dévolution monarchique du pouvoir. Pourquoi l’Afrique reste confrontée à cette triste réalité ? Quel est le rapport de l’Africain au pouvoir ? Comment dépasser cela aujourd’hui ?
Le grand dialogue réfléchit aujourd’hui sur le sujet avec nos invités :

Dr. Souyleymane Kéita, enseignant-chercheur et analyste politique à l’université Yambo Ouologuem

Soumaïla Lah, enseignant-chercheur et analyste politique

Écoutez l’ intégralité de l’émission Grand Dialogue :